« Des espoirs »
Désespoirs que nous connaissons tous, à un point extrême parfois. La Bible en garde trace : « Le soir n’en finit pas : je suis envahi de cauchemars jusqu’à l’aube. Mes jours sont plus rapides que la navette du tisserand, ils s’achèvent faute de fil. Souviens-toi, Seigneur : ma vie n’est qu’un souffle, mes yeux ne verront plus le bonheur. » (Job 7, 1-7)
Dans l’accablement, il nous arrive d’oublier d’être attentifs à la réponse de Dieu à notre prière. Pourtant, quelques pages plus loin, la Bible parle des espoirs contagieux qui se répandent. La Bonne Nouvelle de l’Evangile répond à toutes les prières : « Jésus dit : ‘Allons ailleurs, dans les villages voisins, afin que là aussi je proclame l’Évangile ; car c’est pour cela que je suis sorti.’ » (Mc 1, 29-39)
Dans l’obscurité de l’angoisse, notre prière brille déjà comme la promesse que Dieu accomplit en Jésus.