Surpris par le personnage divin à l’œuvre ici  : regardez les mentions du Saint Esprit dans ce texte…

« il y avait à Jérusalem un homme appelé Syméon. C’était un homme juste et religieux, qui attendait la Consolation d’Israël, et l’Esprit Saint était sur lui. Il avait reçu de l’Esprit Saint l’annonce qu’il ne verrait pas la mort avant d’avoir vu le Christ, le Messie du Seigneur. Sous l’action de l’Esprit, Syméon vint au Temple.
Au moment où les parents présentaient l’enfant Jésus pour se conformer au rite de la Loi qui le concernait, Syméon reçut l’enfant dans ses bras, et il bénit Dieu en disant : ‘Maintenant, ô Maître souverain, tu peux laisser ton serviteur s’en aller en paix, selon ta parole. Car mes yeux ont vu le salut
que tu préparais à la face des peuples : lumière qui se révèle aux nations et donne gloire à ton peuple Israël.’ » (Lc2, 22-35)

Et cette étrange liberté du vieillard disposé à reposer en paix… car il sait désormais, que Dieu s’est fait chair, qu’il est venu dans le monde et que toute vie, toute histoire prend sens en la sienne ! 

Repose en paix, le salut est entré dans le monde.